Encore est un grand mot !

Ce n'y est que notre second passage depuis 2014, encore (finalement le mot est bien choisi) pour aller à l'Ambassade d'Indonésie !

On commence donc ce reportage (ah ben oui, appelons-le ainsi) par une photo du périphérique, ou un morceau, une annexe, ou je ne sais quoi de celui-ci, le long du fleuve...

Revenons la veille, jour de notre arrivée : Installation à l'hôtel pas loin de la Gare de Lyon, deux heures plus tard un taxi nous emmène à l'ambassade où nous trouvons porte close... le gars à l'intérieur nous voit et nous ouvre, que je commence à paniquer...

Une fois devant lui, derrière sa vitre, après avoir palabré deux minutes en indonésien, Tuti lui confie sa carte d'identité contre un passe et nous entrons...

Trois marches sur la droite, la porte à gauche... paroles indonésiennes, remise du nouveau passeport, et l'ancien aussi est rendu (certainement parce qu'il y a les visas et tampons de l'OFII) et nous filons à la "kantine"...

Et là, là, Tuti fait une razzia de produits alimentaires, un cabas plein... j'ai cru que tout allait y passer...

Tuti échange quelques mots avec les personnes présentes en ce lieu, je bois une tasse de thé, faute de café qu'il n'y a pas... tout le monde parle français, ce qui me facilite les choses...

Ils ne prennent pas la carte, nous sortons jusqu'à la banque la plus proche, nous revenons avec du liquide... on demande où on trouve l'arrêt du bus 63, terminus Gare de Lyon et on y va... on trouve facilement et je demande tout de même à une dame d'une soixante-dizaine d'années si on est dans la bonne direction... on est dans la bonne direction...

Un bon quarante-cinq minutes de trajet, on voit plein de choses, de rues, de bâtiments, on aperçoit bien la Tour Eiffel...

Le bus 63 c'est parce que je l'avais vu sur Google map, les trajets, j'avais pris au maximum mes précautions avant...

La vue de la chambre au quatrième étage, tôt le matin...

Même sur l'eau, quand on a soif, il faut boire...

C'était pour la photo, on y a pas été... et puis c'était même pas ouvert je crois...

Ici c'est au début de la promenade le long du fleuve, pas si loin que ça de l'hôtel et de la gare...

Je ne sais pas, ou plus, ou c'est, c'est joli, c'est ce que je sais... enfin je trouve que c'est joli...

Là pareil, c'est où qu'on est ? Faut dire qu'on aura marché de huit heures trente (sortie de l'hôtel) à seize heures (rentrée à l'hôtel) et pas au pas de course !

Justement je photographie d'un banc... ça fait du bien de s'asseoir !

Je photographie Tuti qui photographie... les photos de ce reportage (ah ah, reportage !) sont pas chronologiquement ordonnées... 

Tuti aime cette porte, d'ailleurs elle la photosmartphone mieux que moi avec le numérique... de toute façon c'est une photo prise le lendemain jour du retour...

Le centre commercial Paris Bercy 2... un peu avant nous étions dans un autre centre commercial où nous achetâmes du pain tranché et des tranches de viande que nous mangeâmes près d'un pont...

On commence à rentrer de la balade... ou c'est le début ?

Pas grave...

Tuti est confuse... je ne sais plus si elle m'avait sorti une vanne ou si c'est moi... pour pas changer je sais pas où on est...

Et pour finir, la péniche !

Ce matin en tout cas c'est pas chaud-chaud comme dirait le pékinois au bonze raisonnant...

J'ai acheté un vélo au collègue qui m'a dit que ma roue arrière était absolument fichue, et il a embarqué le vélo à Tuti pour le réparer... 

Finalement ça  se passe bien !

Fait quand-même frais... je porte des chaussettes...

A propos de collègue, faut que je le joigne pour lui dire qu'on est pas là, des fois qu'il veut nous joindre ! 

Faut que je trouve son numéro de téléphone...

Le café brûlant réchauffe-t-il mes pieds enchaussettés ?

Demain le dentiste, mercredi à Paris, vendredi le retour, lundi boulot de nuit, suit une semaine à la maison...

Peut-être bien qu'on fera le trajet de l'Ambassase d'Indonésie à l'hôtel le long de la Seine... un petit deux heures de marche qui doivent être agréables si le temps est avec nous...

En tout cas le temps on l'a, l'autre temps je ne sais pas encore... 

Ecrire c'est bosser, ce qui me rapporte rien, même si je sais pas écrire... juste passer le temps, remplir l'espace blanc...

Boire le café, fumer la cigarette, attendre les tartines du petit déjeûner, confiture...

Radio allumée, ouverte, son bas, chansons... bof !

L'est bien longue à chauffer cette eau !

Envie d'écrire pour rien, parler de rien, seulement moter (claviérer des mots) sans sens ni tout, rien...

Radio éteinte, fermée, pas le son, silence... bof !

Attendre l'inspiration du néant créatif qui troue vers les trous bas d'Our...

Je travaille le grand n'importe quoi !

Quand est-ce qu'on mange ? 

...que je ne suis pas passé sur mon  blog, ou alors en vitesse, pour voir chez les autres...

D'hab quand je passe pas c'est que j'ai des probs d'ordi...

Là c'était différent, au boulot on m'a mit quatre jours là que je connaissais pas... c'était pas trop dur mais j'aime pas changer... surtout pour aller aux rotatives...

Ensuite on m'y a remis mais j'ai pu échanger et être dans mon atelier normal... mais seul ! Celui qui devait être avec moi n'était pas là... sans compter qu'hier on m'envoie trois heures à la rotative... pas celle des quatre jours, celle à côté de la rotative à côté de la rotatives des quatre jours...

J'aime pas quand il manque du personnel, j'aime pas perdre mes habitudes... faire ce que je sais faire c'est ce que j'aime... sans aimer plus que ça !

En plus j'ai crevé, suis rentré à pied, aux mains le vélo... le vélo de Tuti a le pédalier qui fait clac-clac et les patins de frein derrière qui veulent pas dessérer...

Aujourd'hui, enfin hier plutôt, j'ai marché à l'usine... à l'usine il y a ce collègue qui répare les vélos pour passer le temps à qui j'en touche un mot, et qui me raccompagnera chez moi et verra les vélos... il est parti avec ma roue, et pour le vélo de Tuti il repassera car il n'avait pas le porte-vélos sur sa voiture... il l'a pas toujours !

Quand même pour mon quatrième jour j'ai eu droit à un intérimaire... c'était mieux ! 

Maintenant j'ai une semaine de congés... mercredi on va à Paris chercher le passeport de Tuti, on revient vendredi... 

Sinon on attend de savoir si les sous ont bien été transférés en Indonésie, s'ils sont, à moins d'un mauvais chiffre du code, sur le compte de la BNI...

S'ils n'y sont pas, ils seront de retour à la banque-mère de Strasbourg et il faudra tout refaire après avoir trouvé et remplacé le mauvais chiffre...