On a volé la pompe électrique qui était stockée dans la cour de ma maison à Suro Baru !
Elle faisait quoi dans la cour ?
Elle y était en attendant qu'on la rentre...
C'est quoi qu'elle doit pomper ?
Elle fait monter l'eau du sous-sol, elle est automatique, elle s'arrête dés qu'elle est remplie, elle vaut un million deux cent milles roupies, à peu près quatre-vingt cinq Euros...
Il n'y a pas encore de porte qui joint l'enceinte de la cour... c'est pas une raison pour se servir !
Incroyable qu'il y ait des voleurs en Indonésie !
Je dis à ma femme hier, ou était-ce samedi, lundi on cycle jusqu'à Cora t'acheter un téléphone portable car son Nokia acheté à Bogor en 2009 commence de rendre l'âme...
D'abord elle dit qu'on arrête le forfait chez Free, deux heures de communication verbale et sms illimités le mois pour 2 € et que donc pas besoin d'un nouveau portable (à quoi je dis reprenons un bigophone manuel car on sait jamais, le smart ou i est pour son facebook et autres applications communiquants avec l'Indonésie et plus près) si on se retrouve coincé au milieu de nulle part, ou en difficulté...
Parce que le smarti a le wifi que dans l'appartement, et me semble-t-il jusqu'en bas des escaliers pour cinq minutes...
Ce matin je lui dis donc, après qu'elle me demande nous irons quand, qu'on ira samedi avec le train à Mulhouse, pas à Cora mais qu'importe y a plein de magasins et puis tiens on se fera l'épicerie asiatique...
A quoi Tuti me dit qu'on ira juste avec un cabas car on achétera pas beaucoup, à quoi je répond qu'on prend le chariot car je la connais ma femme...
Justement, alors que je pause une paire de minutes pour un café-clope, Tuti dit qu'on achétera (dans une boutique on achète) du sereh (ça ressemble à une asperge iconique en plus mince) qu'on coupe en morceaux qui relèvent le goût...
Si mes lecteurs et lectrices s'en souviennent, pour ceux et celles qui arrivent je conseille de me lire depuis le début de mes textes, je dis toujours que j'aime pas véloer la semaine car trop de trafic routier, or il apparait qu'on y arrive en passant par derrière, par les pistes cyclables, par les voies cyclables, et, si on peut pas faire autrement, on trottoire le vélo en main jusqu'à destination, ce qui prend plus de temps m'enfin le temps on l'a...
Bref ce matin pas envie... et puis il pleut là... et puis on est invité demain soir... une chose à la fois !
C'est moi qui l'a lavé du sol au plafond... pas plafond, pas vrai !
Ce qui veut dire qu'on ne s'y lavera plus jamais pour pas la salir à nouveau, que c'est tout un truc de briquer à fond qu'on en finit jamais...
Donc, bref, à partir d'aujourd'hui, tout de suite, maintenant, on se lave dehors quand il pleut...
Ca nous fait des économies d'eau et d'électricité parce qu'il n'y a pas de petites économies...
Pour les odeurs corporelles on s'y habituera !
Les autres gens autour aussi !
Ca évite aussi de mettre de l'eau dans le gaz qu'on a pas mais sait-on jamais ?
Et comme dit l'autre : Si tu te sens pas bien, tu te fais sentir par un autre !
Demain je nettoie les toilettes...
1. Florentin le 22-10-2017 à 14:14:01 (site)
Ah trouver un petit coin dans les les champs ou les bois et s'essuyer avec de la feuille de chou ! Nostalgie, nostalgie ... Florentin
1. Florentin le 21-10-2017 à 22:31:52 (site)
Fais gaffe. Ces deux gus ne me disent rien qui vaille. Quand on se masque c'est qu'on a quelque chose à cacher ...
Avant j'étais... mais ça c'était avant, maintenant je suis et demain je serai... bien qu'on ne sache de quoi ce sera fait ?
Le sait-on pas ?
Nous le saurons peut-être... sauf ce que nous prévoyons, aimerons ce que nous prévoyons car on sait jamais ce que l'avenir nous réserve !
C'est la vérité vraie et j'en démord pas...
Y a pas que moi pour savoir qu'on sait pas ce que peut-être nous saurons un jour ?
1. Florentin le 21-10-2017 à 22:28:58 (site)
Ben, il y aura jour (ou une nuit) où nous ne saurons plus rien, parce que ce sera le noir complet. Mais, bon, on n'est pas trop pressés que s'éteigne la lumière ! Florentin
Commentaires
1. Mr-He le 24-10-2017 à 03:10:10 (site)
salut l'ami
c'est vraiment pas de chance
René de Chine
2. Florentin le 24-10-2017 à 16:33:32 (site)
Quoi ! Des voleurs en Indonésie. Là tu nous charries ! Trêve de plaisanterie, c'est une engeance qu'on trouve partout ! En ces temps difficiles, où la pauvreté gagne le monde, il y en a de plus en plus. Et ce n'est pas fini ! Quand j'étais enfant, on posait son vélo contre le mur et en s'en allait. Aujourd'hui, il faut l'attacher avec chaînes (au pluriel) et cadenas. On ne va pas vers le meilleur. En Indonésie et partout ailleurs ! Florentin