Une publication, "Dans un regard", poésies, à compte d'auteur, perte financière mais pas tant que ça... l'ai pas fait pour l'argent... c'est sympa de voir son nom sur la couverture...
L'intérieur du bouquin ? Ouais, bon, ça passe... j'ai eu de bons retours de mes lecteurs, surtout les collègues de travail qui l'ont acheté... deux ou trois ventes à l'extérieur...
Une revente sur Internet, pas de détail, pas de commentaire...
Mention de mon receuil dans un forum de littérature, un poème en exemple... ce que j'apprécie c'est que la personne qui en parle cite l'auteur qui est moi, et je la connais certainement cette personne qui me met en forum...
Sinon, à Oxford, dans ma chambre de la maison du personnel allouée par la direction, j'avais commencé d'écrire un délire total, auquel je prenais plaisir, qui devait s'interrompre pour je ne sais quelle raison... c'était bien parti...
M'en souviens à peine que dedans j'y causais entre autre de fumée de cigarette, un truc loufoque, quoi ? Aucune idée !
Y avait de l'alcool ? Peut-être bien ?
Pourquoi arrêter ? M'en souviens pas !
Pas beaucoup, quatre pages à la main...
Puis, cette fois de retour en France après l'Angleterre, je voulais écrire un roman historique... la guerre de 1812... difficile de me documenter car on parle peu de cette période en France...
Je rassemblais donc les souvenirs que j'en avais quand j'en entendais parler à Oxford, surtout la bataille de la Nouvelle-Orléans prenant place après la signature du traité de paix entre anglais (les canadiens du côté anglais) et américains à Paris, la (les ?) bataille(s ?) navale(s ?) des grands lacs, me trouvais un héros qui, que, je ne sais même pas si, quoi, bref rien...
Une bataille après la signature d'un traité de paix ? Fallait du temps pour apporter la nouvelle d'Europe en Amérique quand y avait que du vent...
Puis une fiction historico-familiale : Des cousins éloignés de ma famille franco-anglo-saxonne se retrouvent à la fin de la seconde guerre mondiale, échangent leurs expériences...
Là pareil, ça n'a jamais rien donné...
Un jour mon chef d'équipe, il savait que je faisais de la correspondance postale avec une dizaine de gens à travers le monde (dont Tuti, oui !) et que donc j'aimais écrire (l'a acheté mon livre aussi) me parle des blogs et pourquoi j'essaie pas ?
J'ai essayé, ça m'a plu...
Commentaires
Compte d'auteur ? C'est un cimetière. Jamais je ne ferais une telle chose, D'ailleurs, je ne sais trop comment, un soi-disant éditeur de France, supervisant des comptes d'auteurs (Participatifs, disaient-ils) m'avait fait signe pour un de mes romans et je leur avais répondu deux fois de trouver un autre poisson pour leur hameçon.
Écrire un roman, un texte soutenu, cela prend de la préparation et de la discipline.
Bonjour, j'aime ton style d'écriture, et souvent aussi tu me fais rire ! Un réel plaisir de lire tes billets, bonne après midi, bon dimanche et pour Tuti aussi, fanfan
Quand on est amené à écrire, a tous des rêves d'écrivain. J'ai écrit partout. Dans des journaux, des revues. J'ai plein de petits textes ici ou là. Mais sans doute pas géniaux, sinon, on m'aurait remarqué. Toujours eu des témoignages de satisfaction, disant : facile à lire. Oui, et alors ? . Ce qui compte, c'est le contenu du message. Je me suis dit qu'un jour, j'écrirais vraiment. Mais j'ai toujours eu la cosse. Et maintenant, c'est trop tard. C'est toujours trop tard ... Tu as du style, un style vraiment particulier. Tu aurais pu, mais voilà ... Florentin