C'est un merci sarcastique !
Mardi, retour de la roue réparée de Tuti, réinstallée par le collègue, en profite pour gonfler mes pneus à la pompe à pied que mercredi matin je commence de pédaler, j'entends un bruit curieux de la roue avant, pendant la nuit elle s'est dégonflée, histoire de valve et me voilà au travail à pied parti...
Le collègue me ramène, prend ma roue à réparer...
jeudi aller pédestre, retour avec le collègue, met la roue réparée en place, Tuti lui offre un gâteau confectionné par ses soins...
Vendredi au boulot en vélo, aller et retour...
Ce vendredi, comme jeudi précédent, changement de commande à midi... on fout pas grand chose pendant une bonne partie de la journée et voilà qu'avant la fin il faut galoper !
Ca n'ennuie pas que les laveurs et les préparateurs... le bobinier aussi qui doit vérifier les cylindres dans les cassettes, les aides aux rotatives qui doivent sortir et remettre les cassettes, les préparateurs qui doivent sortir et remettre les cylindres dans les cassettes, le cariste qui doit enlever et ramener les bobines de carton, le bobinier qui doit régler son porte-bobine pour le nouveau grammage, l'imprimeur qui change les couleurs et règle la nouvelle vitesse, le contrôleur qui met en place la nouvelle palettisation...
De toute façon on a finit à l'heure...
Allez ! Le titre est un peu exagéré car la semaine s'est écoulée sans longueur, une semaine est une semaine...