Car la nuit le cerveau est enclin à la créativité !
Vraiment ?
Oui ! La nuit on rêve...
Rêver la nuit n'est pas créer, c'est pas contrôlé... tout dépend de ce qu'on a fait ou trop de fromages mangé dans la journée ou la soirée... ou trop mangé de quoi que ce soit...
Le café aide à la créativité disait Balzac qui avait le tabac en horreur...
J'aime bien me lever pour écrire même si des fois j'ai rien à dire malgré qu'on a toujours quelque chose à dire qu'on veut pas m'écouter et que je pense à Proust à faire des phrases interminables sans virgule qu'on peut pas respirer si on lit à haute voix...
Voilà que je me prend pour Proust que j'ai jamais lu jusqu'au bout...
Hier on a été à Buhl...
On a vu les ruines du Hugstein de loin...
Tuti aimerait retourner à Rouffach...
Hier il faisait beau, le petit pull n'était pas de trop...
Pour rentrer c'était facile, ça descend...
Hier soir on s'est couché tôt sans que je regarde Inspecteur Lewis jusqu'au bout que j'avais déjà vu...
Je regarde les replays, en plus ils font des remakes !
J'aime bien Lewis ou Morse, y a Endeavour aussi, car ça se passe à Oxford là où que j'y ai habité...
Et j'y ai fait de longues promenades à Oxford et ses alentours...
J'y ai fait des tournées des ducs aussi quand j'avais de la descente que j'ai arrêté en 1982 et depuis j'ai oublié le goût de la bière et l'alcool...
J'ai bu de la bière sans alcool une fois mais je sais pas la différence avec la vrai bière car j'ai oublié le goût...
C'est pas créer, c'est raconter ce que je dis...
Quand j'écris mon roman il parlera de ce que je veux écrire et il n'y a que moi qui l'a décidé en un choix trié avec parcimonie !
Soyons fou, oh si peu, beaucoup, juste assez...
Oui, fonçons, droit devant, à l'attaque !
Mon roman parlera de moi, d'elle, d'autres, de choses, et encore je dévoile pas tout... je lève le voile au fil des pages que j'écrirai...
Je narrerai de cafés, tabac, bicyclettes, épouse, vent et soleil, pluie, pique-nique, routes et chemins montés et descendus, à plat, lent et rapide, de découvertes et de trouvailles, d'espoir et souhait en veux-tu en voilà, de non-style, de pauvreté vocabulaire et d'orthographe douteuse, grammaire dépressive et pète plus haut que de mon dos le bas !
Tout pour faire un monde et aider à tourner la terre !
Ma femme vient de se réveiller... la réalité est debout !
Préparons la sortie du jour après le petit déjeûner et la douche...
Je n'arrive pas à voir combien de kilomètres nous avons parcouru...
La raison de notre ballade d'hier : Partir en repérage jusqu'à la ville où habite l'amie des Philippines de Tuti qui habite pas loin du Super-U de Pfastatt juste à la sortie de Richwiller...
Même qu'on y a fait des emplettes dans le magasin après avoir attaché nos vélos ensemble sur le raque (dois-je préciser à vélo/s ?) que je me disais pourvu qu'on vole pas nos vélos alors que nous emplettions...
Se sont rencontrées au cours de français...
Pour rentrer on prend la route directe, c'est à dire traversées de Richwiller, Wittelsheim, Staffelfelden et Bollwiller avant Feldkirch qu'au fond on traverse puisqu'on habite au bout... on dira sous les seize kilomètres qu'on fit sans vraiment voir la Thur, rivière du coin...
Qu'on fit, Thur... elle est bonne hein ?
Parce qu'à l'aller on la voit bien mais ne brûlons pas les étapes !
Bref, pour pas changer une habitude qui gagne on a pédalé, marché là où dans les agglomérations rétrécissent les rues et stoppé pour photographier...
Je ne promet rien mais je vais voir si je peux pas copier-coller une photo depuis facebook...
Les têtes qu'on fait, surtout la mienne, c'est parce qu'on voit un écran noir à cause de la réflexion luminaire du jour... Tuti voit mieux que moi en tout cas...
Y a une photo de la Thur qu'elle a l'air trop grande pour la largeur de la fenêtre de rédaction que je me suis dit ça n'ira pas, ça sera trop lourd pour le blog...
Tout ça pour dire que ça a l'air de marcher mais on verra quand je poste le texte...
Bien ! Où en étais-je ?
Les ronds-points, au moins deux, on se les a fait accompagnés des vélos à la main car c'était plus sécurisant...
Maintenant l'aller : Piste cyclable jusqu'à Pulversheim, six kilomètres, puis piste cyclable jusqu'à Staffelfelden, six kilomètres, puis la route jusqu'à Pfastatt, douze kilomètres... sauf qu'à Pulversheim je voulais prendre la direction de Mulhouse car Pfastatt c'est avant Mulhouse quand on arrive par ce côté là sauf qu'encore, au bout d'un petit deux kilomètres, on voit à une centaine de mètres un rond-point et un pont que ça m'a pas plu à cause de pas mal de voitures sur le spot...
On demi-toure (le verbe demi-tourer vous connaissez ?) pour repiste-cyclaber à Staffelfelden (Staf pour les intimes) là où jamais nous n'avions mis la pédale... qu'on traverse cette partie de Staf (ça va plus vite à écrire) qu'on se retrouve à Staf trottoir de droite, Wittelsheim trottoir de gauche, qu'on demande deux fois comment qu'on fait pour aller sur Richwiller, qu'on grimpe une passerelle qui passe au-dessus des rails du train qu'à la pédale faut être jeune, fort, en forme et bonne santé pour se la taper et là je peux pas vous dire quels kilomètres on fit...
Je vais demander à Tuti qui en a peut-être l'idée...
Elle dit trois ou quatre kilomètres...
Je pense que j'arrête d'écrire !
1. catou le 09-05-2016 à 09:12:37
je suis fatigué
vous avez trop parlé euh trop pedaler
Les visites ici vont et viennent, doucement, pas trop vite... un peu frisquet ce matin... pas les visites, le frais de la nuit qui finit... un petit café dans ma tasse Caliméro et il n'y paraîtra plus je crois... la tasse Caliméro achetée au marché aux puces pour un euro... acheté aussi le nouveau vélo presque neuf, 90 au lieu de 169, qui j'espère ne sera pas volé après une semaine comme c'était le cas y a quelques mois... pour l'instant ça fait pas encore une semaine passée...
Je le fais pas exprès, je cherche pas à m'améliorer, mon vocabulaire laisse à désirer... suis pas près d'être publié, encore moins de gagner un prix littéraire...
Haut les coeurs je suis là pour me marrer et défile la pensée issue de moi !
Donc on part avec le nouveau vélo que Tuti accompagne à la main pour à travers la foule fendre qu'il y a pas beaucoup de personnes à cause du temps pluvieux... nous arrivons là ou c'est plus calme et mon épouse me propose moi qui pédale, elle qui monte derrière et hop c'est parti... elle avait au préalable baissé la selle et le guidon ce qui fait que je suis un peu grand de la taille mais enfin ça va...
Arrive l'instant où il faut prendre à gauche et lui demande "Y a quelque chose derrière ?" et entendre répondre "Oui il y a moi !"... maintenant que j'y réfléchis, est-ce qu'elle l'a pas fait exprès de répondre cette réponse ?
Hier on a fait un grand tour que ça grimpait le faux-plat que Tuti a compris le système des vitesses qui facilite le pédalage !
Aujourd'hui c'est en début d'après-midi qu'on va aux commissions car il y a pas la foule...
Estomac embourbé...
On dit pas comme ça...
Embrouillé...
Barbouillé...
Oui c'est mieux barbouillé...
Du coup téléphoné l'usine... je serai pas là ce soir cause crise de foie...
Pas la grosse crise de foie, on dira l'estomac a trop vite et trop mangé...
En plus cette semaine n'est que trois jours... trois nuits quoi !
Ce soir au boulot, aujourd'hui repos...
Et je fais quoi debout à cette heure que j'ai toute la journée pour me reposer ?
Cette nuit sommeil de 22 à 3... c'est bon ça !
C'est la faute des plats indonésiens... plutôt les macaronis et maqueraux en boite ouais, ouais ! Enfin je pense, ainsi que Tuti, que c'est ça...
Je peux manger doucement aussi morfale que je suis...
J'ai l'impression qu'on écrit morphale parfois...
Glouton... gloûton ?
Hein ? Petit chapeau sur le u ?
Vivement la retraite !
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