Lundi dernier le boulot repris a été et pas trop mal passé ça c'est...

Pourquoi pas trop mal ?

Parce que partir de là je veux, et parce que l'argent que j'attend n'arrive pas, et parce que les impôts locaux sont pas encore venu prendre leurs sous sur mon compte qu'ils vont finir par fiche mon budget en l'air...

Que tout ça commence à me gonfler sérieusement les amygdales !

Que je peux pas vivre clandestinement en Indonésie que je me fais vite repérer, je leur ressemble pas trop...

Si j'essaie l'Australie pas loin je peux me perdre dans la masse, ou je m'installe en Papouasie-Nouvelle-Guinée d'où je franchis la frontière terrestre jusqu'au Irian Jaya ou s'installera Tuti...

Comme ça on se voit en cachette comme des adolescents... 

La chirurgie esthétique il y a qui me transforme en Indonésien de grande taille, j'aurai qu'à porter des lentilles marrons...

Pour les cheveux ça va car chez leurs vieux ils sont gris aussi, et blancs par après ! 

Manque qu'à nouveau un recul du départ de l'âge de la retraite pour couronner le tout !

Heureusement que comptent mes huit années en Angleterre...

A moins que le Brexit ne vient tout ça perturber ?

Non allons !  

Je sais que c'est pas aguichant comme titre, sans compter que je me pose la question de savoir si le compte est bon...

Aguichant c'est du français ça ?

Ouais ! Affriolant en est un synonyme...

En anglais seductive... je séduis mes lecteurs... et mes lectrices... faudrait un mot qui englobe les deux...  

Demain je reprend le boulot pour quatre semaines... le salaire de ce mois était accompagné d'une prime que Tuti et moi on envisageait de mettre sur son livret et voilà les impôts locaux qui arrivent... c'est pas grave, j'attend le chèque de la participation aux fruits de l'entreprise !

Hier on a acheté trois kilos de raisin blanc...

Quand on y pense : Y a plus de femmes que d'hommes qui bloguent ?

Et maintenant des photos :

Le champ qu'on a traversé, pas évident mais on était pas aux pièces... on était sur le côté entre herbe et terre... d'abord sur l'herbe, puis sur la terre... labourée ou en jachère... c'est vous qui choise le mot... 

On a pas le droit d'être là mais on allait pas rebrousser chemin... on poussait les vélos bien sur le côté et on est arrivé au bout...

L'aéroport de Doha... l'avion pour Francfort nous attend derrière Tuti... ou plus loin derrière... 

Si ça tombe c'est même pas sa faute au blog !

Qu'en quelques mots je vous explique : 

Voilà donc que pas plus tard qu'hier je veux y mettre la photo de Tuti dans son beau pyjama rose qui a fait un quart de tour quand elle apparaît... la photo, pas Tuti...

Que se passe-t-il donc ?

Et paf comme d'hab, bing plus rien dès que je me connecte alors que j'ai tant de choses à relater que ça se bouscule dans ma tête que c'est l'embouteillage pire qu'à Bogor à la sortie des usines, ou comme quand on est rentré du Taman Bunga Nusantara (le Parc aux Fleurs) que je devais en parler, jamais fait...

Je dis des usines et y en a qu'une sur l'une des artères principales, Jalan Raya  qui en fait est au bout de Cibinong juste devant Bogor...

Jalan c'est rue en Indonésien, jalan-jalan c'est marcher en Indonésien...

Bref je suis pas plus avancé...

Du coup je vais en découdre, autre façon pour dire que le texte sera décousu :  

Quand on est rentré hier on est resté assis une demi-heure sur les marches de l'entrée avant la descente des vélos sous l'escalier et la montée de ces mêmes jusqu'à l'appartement... mêmes escaliers, pas mêmes vélos...

D'un autre côté on dit la montée des escaliers (ouais d'ac, des marches) mais dit-on la montée des vélos ?

Aujourd'hui j'en ai pas foutu une, à part remplir la machine à laver d'un drap, quatre taies d'oreiller et un polo... tous rouges !

J'ai encore rangé quelques vêtements en haut de la penderie, fait passer le panier à linge lavé de la salle de bain à la grande salle et cette nuit j'ai blogué...

Enfin bref hier on a voulu essayer autre chose pour rentrer, on est passé par la ferme écolo du village avant le village du pique-nique quand on vient d'ici... donc là c'est quand on revenait...

Bref, en bref, donc y avait rien à voir qu'un immense bâtiment en même pas briques ou parpaings et une serre à côté, calme car le dimanche y a personne...

Pas grave on continue le chemin, c'est joli, c'est calme, y a du soleil, un petit vent, de la forêt (à peine), des champs de maïs (un tas), le chemin s'herborise pour finir face à un champ labouré...

Tant qu'à faire si y a rien on fait demi-tour, on a le temps, cette semaine je suis à la maison, on pousse les vélos le long du champ, d'abord au bord dehors puis au bord dedans... on va doucement, on est pas pressé...

Arrivé au bout c'est la station d'épuration où nous stoppâmes quelques instants afin de repérer où nous étions, et aussi pour du café et un joint...

Pas de joint, je rigole...

C'est la voie rapide qu'on suit d'en bas, la sortie, le pont (vous savez le pont que j'en cause non-stop) et paf on rentre...