Ca me passe par la tête, comme beaucoup de choses...

J'ai donc recherché Napoléon et Québec sur la toile, et j'ai deux réponses :

- En 1805 un québécois désire remettre une lettre à l'empereur ou un de ses ministres lui suppliant d'intégrer sa province dans l'Empire Français...

- Des québécois haïssaient Napo car il était un des successeurs de ceux qui avaient assassiné Louis XVI...

Je dis "des" parce qu'au fond on peut pas dire que tous pouvaient pas blairer ce mec... 

Pour trouver un titre c'est toujours pareil !

J'ai l'idée de ce que je veux raconter, ou narrer si vous préférez, mais j'ai pas le titre qui englobe le tout...

Hier il y a eu le feu à l'usine... en fait dehors mais l'usine a été évacuée par précaution...

C'est le compacteur qui a flambé à cause des chiffons imbibés d'acéate, la chaleur à l'intérieur a provoqué les flammes...

Ce doit être ça qu'on appelle une combustion spontanée...

Toujours est-il que l'équipe de pompiers de l'usine, collègues formés, est intervenue relayée par les vrais pompiers qui sont vite arrivés pour professionnellement finir le boulot... 

Alors techniquement je peux pas expliquer comment ça marche, mais je vais le faire... la virgule c'est que vous puissiez respirer...

Le compacteur est à l'extérieur de la presse à balles, là où tous les déchets de carton sont aspirés pour être emballés par des fils de fer, un endroit où il y a de la poussière en suspension, donc la fumée passe dedans et peut provoquer un incendie... la fumée peut provoquer le feu mais je ne sais plus trop pourquoi, ou comment... vous choisissez le mot que vous voulez...

Bref quand tout était terminé on est rentré reprendre le boulot...

Mais d'abord la pause, car l'incendie commence à 11h30 quand on va manger, ensuite vu l'heure qu'il était je vide les encres, mon collègue et moi on lave le sol...

Le chef me demande d'aller aider à nettoyer près du compacteur qui a été ouvert par (ou pour) les pompiers afin qu'ils fassent leur travail...

Y en avait du boulot !

Un compacteur est fait pour compacter, du compacté y en avait partout par terre et dès que j'ai rempli une benne je suis parti à l'heure, sans savoir que c'était l'heure de partir...

Juste une chose... les chiffons qui ont brûlé c'était pas les chiffons normalement utilisés, car nous étions encore en rupture de stock... 

Par contre on a fait venir une citerne d'acétate alors que ça pouvait attendre, et on est en rupture d'azote qui aurait du être là pour l'UV... l'UV ça fait sécher l'encre plus vite...

Bref c'est le bordel et j'en ai ma claque de cette boîte de merde...

Le on c'est pour généraliser, j'ai assez de mon boulot... 

C'est Tuti qui a confondu moitié-moitié avec mouillé-mouillé, comme elle confondit couverture et confiture...

Comme elle s'exclama une fois, voyant la  pluie tomber dehors, Il plou !

Tomber dehors... heureusement que c'est pas dedans...

Cela fait sept jours que j'ai rien écrit... aujourd'hui j'écris...

Et qu'est-ce que je vais écrire ?

Vous l'allez découvrir comme l'eut fait Molière, fait se rapportant à l'écriture !

J'écris quoi ? Je veux dire par quoi je commence ?

C'est pas que ma vie soit des plus trépidantes, surtout ma vie journalière, quand-même des fois ça pète, ça boume, ça rigole, ça ras-le-bol, ça passe, ça vit...

Ca pédale aussi !

Ainsi, au boulot, avant-hier, mon collègue me taquine, m'interpellant, Bruno il sent le poireau... ça rime, c'est rigolo... ça sent quoi un poireau ?

C'est bon le poireau !

Ainsi, au boulot, hier, j'en avais ma claque, pas du collègue, de la semaine, que j'ai pris une pause longueur allongée...

Tout ce qui devait être préparé fut, presque, préparé, et puis c'est vendredi, la veille du weekend qui sera court...

Toute cette semaine, rentrant du boulot, je prenais une douche, sauf hier soir...

Un collègue, pas celui du poireau, m'a mit le vélo dans son coffre et m'a ramené... le temps de rentrer, puis sortir la bicyclette, on était saucé...

Plus tard, après avoir mangé un morceau, au lit à minuit j'étais, nous étions, la fenêtre légèrement ouverte car il pleuvait plus légèrement...

Je vais à la douche après mon café...

Mon cerveau dort...  

Quoi de mieux que commencer un texte que par une photo, et de là narrer l'histoire ?

Me voici donc, Tuti photographiant, presque arrivé chez nous, au retour d'un raid d'achats à l'hypermarché de Dornach (plus petit que celui de Wittenheim)...

Je porte des lunettes de soleil à 2,20 € qui comptent pas car achetées 15 jours plus tôt au Super-U... ce qui me rappelle la paire que j'avais payé beaucoup plus chère et oubliées à l'aéroport de Singapour...

Est-ce qu'on voit bien ma nouvelle montre, ou faut-il agrandir la photo qui, normalement, s'élargit quand on clique dessus ?

Vous voyez ? J'essaie d'éviter les répétitions...

Et mes nouvelles sandales ? On voit bien mes nouvelles sandales ?

Et la valise ? Ah la valise !

Tant qu'on est pas sur une surface solide j'ai pas voulu la faire roulleter...

70 € qu'on va pas flinguer avant même de l'utiliser proprement...

Voit-on bien le problème, ou faut-il cliquer l'illustration ?

Nous étions en marche pour la gare, quand, descendant les yeux aux pieds, je vois que, ah zut alors, c'est flingué...

Cette vieille, et l'autre, finiront dans la corbeille de la petite gare du retour...

Selfie spécial nouvelle montre... 22 €... la petite gare du retour... on voit quelque chose à l'arrière-plan ?

Bon d'ac... c'était pas nos sous... carte-cadeaux de l'entreprise pour remercier les ceusses qui y bossent, pour les efforts fournis dans l'année...

Les 24 € ?

J'ai dépassé les 160 offerts...

Je ne détaille pas le menu fretin... 

Coiffouwre comme dit Tuti... on se moque pas de l'accent de ma femme... elle se moque pas du mien... presque pas... du peu d'indonésien que je cause... d'façon les indonésiens sont pas susceptibles...

'Fin bref on a trouvé shampooing et coupe pour 12 €... sans rendes-vous... en grande ville... quand je pense aux 5 salons de coiffure du village de 4035 habitants qui jouxte notre village qui en recense 1010... habitants et pas salons de coiffure...