Me foule pas pour trouver un titre !

C'est quelqu'un d'autre qui l'a fait... rentrer la poubelle, pas trouver un titre...

Non mais c'est parce que ça évite de faire un même titre déjà utilisé... y en a tellement !

Sinon quoi de neuf depuis la dernière fois ?

Les intêrets de mon assurance-vie sont pas folichons mais on va pas chicaner, c'est toujours ça... 

J'ai l'argent pour la construction de la maison en Indonésie, le reste c'est pour les meubles... tant qu'à faire y a qu'à laisser faire le peu qui vient...

J'ai plus de lecteurs journaliers sur mon blog que d'intêrets sur mon assurance-vie c'est dire !

Trois Euros en quatre mois contre cinq lecteurs par jour (dont moi ?)... je vais investir chez Vefblog !

Ca fait longtemps que j'ai pas mis de photo...

J'en installe une...

Le dernier né de la famille indonésienne... on l'a vu au mois d'août... 

Le texte d'aujourd'hui est sur ce qui concerne que j'ai ce soir rentré les poubelles après que le camion des poubelles que j'ai pas vu passé est passé ramasser les poubelles...

Il y avait trois poubelles à rentrer... des fois une, des fois deux, cette fois trois... j'ai fait deux voyages pour les rentrer, sinon un suffit quand y en a qu'une ou deux...

Sinon ce matin on est allé se faire tirer le sang... moi pour le travail, Tuti pour le docteur.... moi c'est l'usine qui paye, Tuti elle a payé cinq Euros chsépu combien...

La secrétaire de notre propriétaire est passée relever le compteur d'eau... là, il y a peu, quelques instants avant que je ne commence à rédiger...

Je lui ai dit si on paye trop cher on arrête de se laver...

Vous comprenez que je ne fais pas que causer des poubelles mais il fallait bien que je commence quelque part...

D'où le titre...

Ce soir c'est frites et saucisses...

Sinon après le tirage du sang on a fait quelques courses au supermarché pas loin et on est rentré par le long chemin des pistes cyclables même que je d'abord voulait pas cause mes fesses mais je me suis dit que tuti le voulait et puis elle est pas trop sortie dernièrement cause le temps qu'on a eu...

Bref j'étais content d'arriver... et Tuti aussi cause que comme ça faisait longtemps qu'elle est pas sortie ainsi ça lui a fait de la fatigue...

L'huile chauffe et l'eau commence de bouillir... l'eau pour le café, l'huile pour les frites et les saucisses...

On va se régaler car les frites sont chères en Indonésie...

On trouve des pommes-de-terre en Indonésie, elles sont chères...

On trouve des saucisses aussi... elles sont moins chères que les pommes-de-terre...

Sinon cette semaine, comme toutes les quatre semaines, je suis à la maison... 

Je suis, soudainement comme ça, d'un seul coup et d'un seul doigt sur les touches du clavier, de mauvaise humeur parce que comme un vieux je me souviens d'il y a 20 voire 30 ans mais pas de ce que je me suis dit il y a deux voire trois minutes de ce que quoi j'allais écrire !

Que se passe-t-il en avril 1996 ou 1986 ?

Avril 2016 n'est pas terminé...

Des bribes d'avril 1996 me reviennent : Mon premier mariage depuis 3 ans !

Sûr que c'est trois ans ?

On s'en fout, c'est pas de ça que je veux écrire...

Toujours d'un doigt !

L'autre jour je me suis pris le poteau au milieu à l'entrée de la piste cyclable... je l'ai vu à temps pour freiner ce qui amortissa le choc frontal mais pas assez pour que j'éviti de desseller que la pointe de la selle choque un peu à gauche du coccyx... bref j'ai un petit peu mal mais rien de méchant, je fais attention de pas m'asseoir n'importe comment...

Heureusement que mon vélo il est mixte (ou de femme on peut le dire aussi) que j'aurais pu me les briser pour qu'ensuite, peut-être, elles gonflent...

Le vélo, dont la roue avant, n'a rien... c'est du solide les vélos d'occase helvétique ! 

Tout ça car, sur ma droite, je regarde le panneau de signalisation avec entre autres une silhouette piétonière (deux n, ou pas ?) dans le panneau tout barré d'un gros trait rouge que je me disais pourquoi ?

L'est pas rouge, l'est noir le trait... pas noir ?

Oh et puis merde tiens !

Bref, comme on dit, Tuti et moi on doit se faire tirer le sang... moi pour la médecine du travail et mon épouse à la demande du médecin de famille...

On ira lundi matin que j'espère s'il fait pas beau, qu'il fera au moins pas pluie et vent froid parce qu'on pédale jusque là-bas et on sera à jeun !

Pas de souci pour moi, l'arrière de mes fesses dépassent et ça ennuie pas pour pédaler... 

Bon, je vais surfer sur Internet... 

Tant que les montagnes sont à gauche c'est qu'on est dans la bonne direction pour rentrer et c'est tant mieux !

Et encore ça veut pas dire qu'on est au bout de la route...

J'explique par la narration de notre journée :

Il était une fois un couple franco-indonésien qui décide d'aller faire une balade en vélo après avoir fait quelques emplettes au supermarché après avoir été chercher les lunettes neuves pour ma femme et commencèrent de pédaler en direction du rond-point, que voilà que le vélo de ma femme fait clac-clac quand elle pédale...

Nous stoppons et regardons sur le trottoir car c'est pas bien de rester sur la bande à vélo... le vélo sur le trottoir, pas regarder sur le trottoir en restant à vélo sur la bande à vélo ce qui ne sert à rien dans le cas qui nous préoccupe...

Nous voyons qu'un rayon s'est cassé et s'est enroulé dans le moyeu de la chaîne que j'arrive à retirer, étirer et enrouler autour d'un rayon d'à côté sans me trop les doigts salir et off we go again, un peu soucieux que je suis que n'intervient aucun problème que je surveille la roue de derrière qu'on voit mieux ainsi...

Nous prenons à gauche au lieu de tout droit comme initialement prévu (de toute façon quand on doit aller devant car il le faudra, en sortant de chez nous prenons droite-droite-gauche-gauche-gauche-tout droit-droite-tout droit je crois... ça fait un détour mais c'est moins voituré...) en contrebas de la voie rapide et à cet instant les montagnes sont à droite...

Même que par moment nous marchons car nous n'aimons pas les faux-plats ascendants et qu'on stoppera pour manger un morceau cause que nous partîmes sans petit déjeûner vers neuf heures trente...

Au bout de je ne sais quelle distance, après passé sous la voie rapide, nous arrivons à une séparation de chemins où il y a un panneau qui indique un village au bout à quatre kilomètres et demi qu'on voit là bas...

On arrive non sans mal au village (ça grimpe même si ça se voit pas) pour tourner à gauche (ça descent, ça fait du bien) ce qui nous permet d'atteindre une belle piste cyclable qui nous mène à la ville dans un coin paumé sans panneau, sans indication, sans rien qu'on se dit où qu'on va ?

On sait où nous sommes mais ne savons pas où nous sommes là où on est...

On tourne et retourne en cet endroit pour enfin se retrouver près d'un rond-point où nous mangeons les fraises assis sur un muret à côté d'un commerce de mobile homes... 

Pas trop de circulation qui nous permet de nous autoriser à prendre directement à gauche, près du bord, à pied, en faisant quand-même attention pour emprunter un chemin qui s'avérera être la voie du retour car les montagnes sont à gauche... c'est mon épouse et compagne de vélo qui le vit ce chemin avant moi...

Nous pédalons, retrouvons la séparation de chemins, je pars à droite tout droit quand ma femme voit qu'après droite il faut encore à droite et nous repassons sous la voie rapide et nous rentrons...

Et c'est pas évident puisque quand ça descendait c'est maintenant montée (vous savez les faux-plats quoi) mais ça va mieux en vice-versa...

On arrête au supermarché, j'attend alors qu'elle va faire quelques emplettes, on rentre chez nous où nous sommes claqués d'en gros sept heures de sortie...

C'est sûr qu'on s'arrêta de temps en temps... 

C'est donc le 27 que nous pédallâmes le vélo (deux l c'est sûr ?) contre vents et marées bien qu'il n'y eut point de quoi se marrer (deux r c'est sûr !)...

Qu'en dire ? Que nous n'allâmes pas si loin mais trouvâmes de nouveaux chemins ?

Deux pour être exact : L'un n'alla nulle part au bout et l'autre alla presque nulle part mais nous permit de reprendre la départementale qui nous ramena en direction de chez nous !

Le retour était le plus dur à cause que le vent face nous fit, et pas de quoi rire il y avait, et de temps à autre marcher nous préférâmes... 

Une fois rentré j'eus le courage de descendre nos bicyclettes sous l'escalier avant que de remonter chez nous et apprécier notre pique-nique que nous ne mangeâmes pas en route faute d'endroit idéal pour en profiter !